Les Principes de la Naturopathie
D’abord ne pas nuire (primum non nocere)
Primum non nocere fait référence non seulement au patient mais à sa force vitale. Pour ne pas nuire, un naturopathe choisit le soin en façonnant la plus douce stratégie pour atteindre le résultat souhaité pour chaque individu. Souvent, la santé peut être restaurée en changeant le mode de vie, en tenant compte des facteurs environnementaux ou externes et / ou en s’attaquant directement aux situations sociales ou stressantes. La philosophie naturopathique est centrée sur le respect de la nature holistique et de la vitalité de chacun et s’assure que le processus de guérison est pris en charge plutôt que contré.
Ce principe a été exposé par Louis Kuhne lorsqu’il a déclaré : « La maladie, si refoulée ou rendue latente, conduit lentement, mais sûrement à des conditions de santé incurables ». Ne pas nuire implique l’enseignement des connaissances nécessaires et de la façon consciente dont les choix de style de vie, l’environnement, les relations sociales et tous les aspects de la vie sont interdépendants et peuvent potentiellement affecter la santé et contribuer à la maladie.
Un autre aspect de Ne pas nuire consiste à identifier et à respecter l’intention et la capacité de guérison de chaque individu. Prendre en considération le traitement d’un patient de manière objective fait partie du traitement naturopathique. Bien que la pratique de la naturopathie soit généralement considérée comme très sûre, aucune forme de pratique thérapeutique est sans risque, soit physiquement, émotionnellement, mentalement ou éthiquement. Pour suivre ce premier principe de la naturopathie, chaque naturopathe doit s’éduquer de manière approfondie sur la question de la sécurité, y compris les interactions médicamenteuses avec les plantes médicinales et les remèdes nutritionnels.
Thomas Sydenham (1624-1689), un médecin anglais souvent appelé Hippocrate anglais, a dit dans son aphorisme en latin concernant les devoirs d’un médecin : « Primumest ut non nocere ».
Le pouvoir de guérison de la nature (vis medicatrix naturae)
Le terme vis medicatrix naturae désigne la capacité du corps à se guérir. Ce pouvoir de guérison est un processus de guérison inhérent auto-organisé et ordonné des systèmes vivants qui établit, maintient et rétablit la santé.
Bien que les naturopathes aient été les plus grands champions de cette doctrine, le mystère entourant le pouvoir de guérison du corps faisait partie de la médecine depuis la nuit des temps. L’historien médical, Max Neuburger a déclaré. « Il existe des lois innées ou naturelles entourant la vie, la santé et la maladie. Ces lois impliquent que l’homme vive en harmonie avec la nature et reconnaisse la sagesse du corps pour se guérir ».
Le concept de la vis medicatrix naturae est universel et intègre les croyances traditionnelles de nombreuses régions du monde. Chez les Maoris de Nouvelle-Zélande, le pouvoir de guérison de la nature est appelé « Te oranga mai te taiao », ce qui signifie «la dépendance aux processus naturels et aux forces vitales pour guérir ».
Étant donné que l’accent est mis sur la facilitation de la guérison spontanée chez un individu, c’est le rôle du naturopathe de soutenir, faciliter et augmenter le processus vis medicatrix naturae en identifiant et en supprimant les obstacles à la santé et au rétablissement, en soutenant la création d’un corps et d’un environnement sain, et en veillant à ce que l’esprit agisse vers le bien-être. Une croyance naturopathique est que les symptômes sont souvent la manifestation de la tentative du corps de se défendre et de se guérir. Lorsque la cause profonde des symptômes et les obstacles à la guérison sont identifiés et traités, le corps sera souvent en mesure d’initier seul le processus de guérison, encouragé avec des changements de style de vie par l’utilisation de thérapies naturelles telles que les herbes, les aliments…
Les naturopathes appliquent la vis medicatrix naturae en : Traitant l’individu, pas la maladie ; éliminant les obstacles à la guérison en identifiant et en traitant la cause de la maladie ; diminuant la charge toxique pour permettre à la capacité de guérison innée de se manifester ; dirigeant la force vitale pour stimuler les propres défenses et la capacité de guérison du corps ; et en diminuant la sensibilité à la maladie.
Origine :
Le concept de vis medicatrix naturae a commencé avec le Corpus Hippocraticum en 400 avant JC. L’étude de la médecine, à cette époque, était basée sur l’observation de la nature et la nature était la force pour restaurer la santé et l’équilibre chez l’homme. La tâche du médecin était de soutenir la nature dans cette voie. L’une des principales déclarations était : « Medicus curat, natura sanat ».
Dans l’Aphorisme du Corpus Hippocraticum, il est écrit : « Le pouvoir de guérison naturel (vis), qui stimule la matière, la chaleur intérieure implantée dans le corps, est la raison et la source de sa vie » .
Paracelse (1493-1541), philosophe et médecin suisse, a déclaré à propos du pouvoir de guérison de la nature : « La vie est régie par une intelligence autorégulatrice et autorégénératrice ; sa fonction est d’assimiler du matériel sain pour l’organisme et de le défendre contre les invasions extérieures».
Dans son livre « Lehrbuch der Allgemeinen Heilkunde » (1818), C.W. Hufeland a déclaré à propos du pouvoir de guérison de la nature : « Le corps humain a non seulement la capacité de se maintenir, mais aussi de résoudre les troubles et les mauvaises conditions. La nature elle-même est capable de guérir les maladies. D’innombrables personnes ont déjà été soignées de cette manière et ils sont toujours vivants. La doctrine du pouvoir de guérison de la nature mérite notre plus grande attention… ».
Russel Thacker Trall (1812-1877, Amérique du Nord) était un promoteur du régime végétarien, de l’hydropathie et du pouvoir d’auto-guérison de la nature. Il a contribué ainsi : « La nature est le principe réparateur », cela signifie que ce n’est pas le remède ou le traitement appliqué par le médecin qui rétablit la santé, mais la nature chez l’homme – la vis medicatrix naturae.
Henry Lindlahr (1862-1924) a cité à propos de la vis medicatrix naturae : « C’est ce pouvoir et cette intelligence suprêmes, agissant dans et à travers chaque atome, molécule et cellule du corps humain, qui est le véritable guérisseur, la vis medicatrix naturae, qui s’efforce toujours de réparer, de guérir et de restaurer les obstructions et d’établir des conditions normales à l’intérieur et autour du patient, afin que le guérisseur à l’intérieur puisse faire son travail au mieux ».
William A. Mitchell Jr., (1947-2007), un médecin, philosophe, et professeur dans divers collèges de naturopathie en Amérique du Nord, a déclaré à propos des Vis : « Le Vis n’est pas affaibli ou renforcé par la force de l’individu. La vis medicatrix naturae existe en interne et universellement. Le « Vis » est une équation, le résultat du fonctionnement harmonieux et équilibré de tous les systèmes à tous les niveaux. Les valeurs de l’équation peuvent changer, affectant ainsi la force d’un individu ou sa durée de vie. . . mais la loi de la nature existe simplement. Le niveau de vitalité de n’importe quelle partie de l’équation peut changer, cependant, le Vis est l’équation elle-même » .
Joe Pizzorno, (Etats-Unis), est un naturopathe, éducateur, chercheur et porte-parole expert. Il est le président fondateur de l’Université Bastyr. Pizzorno dit à propos du Vis : « Vis medicatrix naturae est la manifestation de la Conscience universelle sous forme biologique. Notre environnement, nos croyances, nos interactions avec les autres, nos actions, notre mode de vie, notre alimentation, etc. modulent la manifestation du Vis comme notre vitalité, mais le Vis lui-même est immuable. Alors que nous nous harmonisons avec le Vis, notre conscience se développe ».
Identifier et traiter la cause (tolle causam)
Traiter la cause (tolle causam) est un principe qui souligne l’importance d’identifier et de traiter la ou les causes de la maladie. Il est basé sur la prise de conscience que la santé et la maladie se produisent pour une raison. L’identification de la cause profonde de la maladie et des facteurs aggravants est un aspect essentiel des soins naturopathiques. La santé est améliorée en réduisant le nombre de facteurs qui sollicitent le corps et interfèrent avec son fonctionnement normal et sa capacité à guérir.
Traiter la cause fait référence à la nécessité de regarder au-dessous et au-delà des symptômes, dans les origines et les raisons profondes de la susceptibilité à la maladie et de gérer les individus à l’aide de méthodes qui permettent d’y répondre. La fièvre fournit un exemple convaincant pour illustrer une approche si complexe. Plutôt que d’être une maladie, elle est un symptôme de la maladie. Dans un sens, elle pourrait être qualifié de « symptôme positif » comme il s’agit d’une réponse physiologique normale à l’infection. D’autres exemples de « symptômes positifs » pourraient inclure : des vomissements ou de la diarrhée lors d’une intoxication alimentaire…
Afin de traiter les causes des symptômes, il est important de comprendre non seulement la physiologie et la pathologie de chaque individu, mais aussi de comprendre ses états émotionnels. Le but d’une évaluation naturopathique est de déterminer le déclencheur, la situation, le facteur environnemental ou le comportement spécifique qui a déclenché la perturbation et qui doit être traité. Le corps compense naturellement chaque fois que le fonctionnement interne est dépassé et cette compensation apparaît comme des symptômes et comme une perturbation de la santé. Les symptômes sont considérés comme des expressions de la tentative naturelle de guérison du corps et fournissent une feuille de route pour déterminer la cause première. Par exemple, lorsque le rein ou le foie est submergé, il est courant qu’un individu développe des affections cutanées. L’emplacement des affections cutanées fournira un guide quant à l’organe qui est stressé.
Origine
Bien que le nombre de facteurs identifiés comme contribuant à la fois à la santé et à la maladie ait augmenté de façon exponentielle, le Corpus Hippocraticum a tout d’abord souligné l’importance d’identifier et de traiter la ou les causes de la maladie avec la citation suivante :
«Les causes des maladies sont : les dispositions intérieures, le mauvais mode de vie, le climat et l’habitat ».
Thomas Alva Edison (1847-1931) a déclaré à propos de tolle causam :
«Le médecin du futur ne donnera aucun médicament mais intéressera son patient aux soins de la structure humaine, à une alimentation appropriée, à la cause et à la prévention des maladies ».
Benjamin (1896-1966), naturopathe anglais, publie en 1936 son ouvrage «Everybody`s Guide to Nature Cure», où il expose quels sont pour lui les principes fondamentaux de la naturopathie: Premièrement, le principe le plus fondamental est «que toutes les formes de maladie sont dues à la même cause, c’est-à-dire à l’accumulation dans le système de substances résiduelles et de déchets corporels qui se sont accumulés dans le corps de l’individu en question au cours des années, en raison de mauvaises habitudes de vie « . Il s’ensuit que » la seule cause de guérison de la maladie est d’utiliser des méthodes qui permettent au système de se débarrasser de ces accumulations toxiques, qui entravent le fonctionnement quotidien de la machine humaine ». Deuxièmement: « L’organisme s’efforce toujours d’atteindre le bien-être de l’individu, et que les symptômes de toutes les maladies aiguës ne soient que des tentatives pour éliminer les déchets accumulés qui entravent son bon fonctionnement ». La troisième théorie de Benjamin est que « l’organisme peut à lui seul opérer le retour du bien-être normal que nous appelons la santé, tant que des moyens adéquats sont utilisés pour faciliter sa performance ».
En 2009, la naturopathe Iva Lloyd a regroupé les facteurs qui influencent la santé et la maladie dans les catégories suivantes : essence personnelle (spiritualité), génétique / gestationnelle, mode de vie, interventions sociales, environnementales, externes, médicales et facteurs physiologiques. Ces facteur peuvent soit stimuler la santé, soit contribuer à la maladie.
Traiter l’individu dans son ensemble (tolle totum)
Traiter l’individu entier (tolle totum) est un concept holistique qui reconnaît que le tout est supérieur à la somme des parties. Chaque individu est unique avec ses propres susceptibilités spécifiques et sa propre façon de manifester l’harmonie et la maladie. C’est le fonctionnement harmonieux de tous les aspects des individus, en eux-mêmes, avec les autres et avec leur environnement, qui est essentiel à la santé. Les aspects mental et émotionnel, fonctionnel, structurel et spirituel d’un individu sont un tout inséparable qui est interconnecté et interdépendant avec la famille, la communauté et l’environnement, comme en témoignent de nombreux modèles de santé autochtones tels que le modèle Whare Tapa Wha du Maoris de Nouvelle-Zélande. Tout type de disharmonie dans n’importe quel aspect d’un individu résonne à tous les niveaux d’un être, la maladie affecte la personne entière, pas seulement un organe ou un système spécifique.
Lors du traitement de tout l’individu, une évaluation doit intégrer tous les facteurs, y compris le principe de la naturopathie, Treat the Cause (tolle causam), la prise en compte de l’état nutritionnel, des facteurs liés au mode de vie, des antécédents familiaux et des facteurs génétiques, de l’état mental et émotionnel, des influences environnementales, des facteurs extérieurs, blessures antérieures, accidents, traitements médicaux et facteurs sociaux.
Traiter l’individu en entier a souvent été appelée la connexion esprit-corps et a fait l’objet de nombreux articles dans de nombreuses disciplines. D’un point de vue naturopathique, Tolle totum est fortement corrélé avec la philosophie naturopathique de l’holisme.
Origine
« Un médecin prudent. . . avant de tenter d’administrer un remède à son patient, il doit enquêter non seulement sur la maladie de l’homme qu’il souhaite guérir, mais aussi sur ses habitudes de santé et sa constitution physique. » Cicéron (106-43 avant J.-C.)
Le Naturopathe comme enseignant (docere)
Docere, ou « médecin », vient du mot latin « enseigner. Le rôle d’un naturopathe est d’éduquer sur les facteurs qui affectent la santé et la maladie afin que les individus soient mieux informés de l’impact de leurs choix et qu’ils sont plus capables de maintenir leur propre santé. Ce sont les choix d’un patient concernant la nutrition, l’exercice, le bien-être spirituel, la posture, l’hygiène, le repos et le sommeil et notre tranquillité d’esprit, les situations sociales, professionnelles et environnementales qui influencent la santé. L’accent est mis sur le patient, pourquoi il s’est retrouvé avec les symptômes et les conditions qu’il a et sa relation avec sa condition ; plus que la condition elle-même. Les naturopathes éduquent le patient et encouragent l’auto-responsabilité pour la santé. Docere implique une collaboration avec le patient et d’autres professionnels de la santé. L’enseignement prend du temps, de nombreux patients souhaitent comprendre pourquoi ils sont malades, ce qu’ils peuvent faire pour améliorer la situation et ce qu’ils doivent changer pour l’avenir. C’est cette conscience et cette compréhension du patient qui déterminent le bien-être à long terme, et non le niveau de connaissance du naturopathe.
Origine
Thomas Edison (1847-1931) a écrit : « Le médecin du futur ne donnera aucun médicament, mais intéressera ses patients aux soins du cadre humain, de l’alimentation et à la cause et à la prévention des maladies. »
La prévention des maladies et la promotion de la santé
Les médecins naturopathes encouragent et mettent l’accent sur la prévention des maladies et la promotion de la santé comme l’un de ses principes. La promotion de la santé a été définie comme suit : « … Le processus qui permet aux gens de mieux contrôler leur santé et ainsi de l’améliorer. Il s’agit d’une fonction essentielle de la santé publique qui contribue au travail de lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles et d’autres menaces pour la santé».
La prévention des maladies et la promotion de la santé impliquent la promotion d’un mode de vie sain, l’évaluation des facteurs de risque, la détermination de la sensibilité aux maladies et la mise en œuvre d’interventions thérapeutiques appropriées. Les facteurs liés au mode de vie sont primordiaux pour la prévention des maladies et la promotion de la santé et pour empêcher les maladies mineures de se transformer en maladies dégénératives plus graves ou chroniques.
Origine
Le Diaita et le modus vivendi, décrits par le Corpus Hippocraticum, avaient un sens plus profond que la restauration et la conservation de la santé, ou de son maintien. L’intention de ces modes de vie sains était la prévention du déséquilibre des forces et la promotion de la santé.
Les premiers naturopathes qui ont promu le concept de prévention des maladies et de promotion de la santé dans la pratique naturopathique sont :
Adolf Just (1859-1936), qui a dit que le maintien de la santé était plus important que les traitements contre les maladies. La prévention était appelée maintien de la santé. L’une de ses déclarations était : « Toute l’attention est sur la santé et non sur la maladie ».
Henry Lindlahr (1862-1924) était un naturopathe qui a commenté le fait que les gens commencent à se rendre compte qu’il est moins cher et plus avantageux de prévenir la maladie plutôt que de la guérir.
Le Bien-être
Le « bien-être » est composé des deux mots « bien » et « être ». Le concept de « bien-être » indique que ce n’est pas seulement le « bien » qui est nécessaire à la santé, mais aussi l’état de « l’être ». Ce n’est pas seulement la santé physique, mais la santé psychologique et spirituelle qui crée le bien-être total.
Bien que les critères de « bien-être » varient, les concepts qui ont été inclus sont, entre autres, la passion et l’amour pour ce que vous faites chaque jour, la sécurité financière, la vitalité physique, la qualité des relations. Le bien-être suit l’établissement et le maintien d’une santé et d’un équilibre optimaux, caractérisés par une émotion, une pensée et une action positives. Le bien-être est inhérent à tout le monde, indépendamment des maladies. Si le bien-être est reconnu et vécu par un individu, il guérira plus rapidement d’une maladie qu’avec uniquement le traitement direct de la maladie. Il existe un énorme corpus de recherches reliant un sentiment de bien-être à la santé mentale et physique globale.
Origine
Le principe du bien-être a été ajouté par un certain nombre d’établissements d’enseignement en naturopathie, dont Wellpark College en Nouvelle-Zélande et Bastyr University aux Etats-Unis.
Les personnes suivantes ont contribué au concept de bien-être et à son importance pour la santé globale :
Joseph Campbell (1904-1987) était un mythologue, écrivain et conférencier américain. Il a dit : « Si vous suivez votre bonheur, vous vous mettez sur une sorte de piste qui vous attend depuis toujours, et la vie que vous devez vivre est celle que vous vivez ».
Diener, Suh, Lucas et Smith (1999) – Les affects positifs et négatifs ont un impact considérable sur la santé. Ils en discutent en référence à leur cartographie des composantes positives et négatives du SWB (Subjective wellbeing = bien-être subjectif). Les « affects » positifs (avec les « affects » négatifs correspondants entre parenthèses) comprennent : la joie (culpabilité et honte), l’exaltation (tristesse), la satisfaction / fierté (anxiété et inquiétude / colère), l’affection (stress), le bonheur (dépression) et l’extase (envie). Alors que des questions peuvent légitimement être soulevées quant à la validité de certaines correspondances, elles sont issues d’une longue histoire d’étude des SWB et sont des concepts généralement acceptés. Il convient de considérer combien de ces « effets » sont liés à la qualité des relations. Certaines corrélations pourraient être établies avec la plupart d’entre elles.